: Fortitude: Qui voilà? Ce n'est pas le chat

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vendredi 26 septembre 2014

Qui voilà? Ce n'est pas le chat

Et un blog de plus! Un! Et ce n'est pas fini! du même auteur, il y en aura deux autres.
Je vais pouvoir me répandre sur:
-fortitudepole: livres que j'écris, scènes de la vie quotidienne, réflexions...
-napolipole: tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Naples et sa région et que vous n'avez jamais pensé à demander
-energynukegeopole: blog spécialisé sur la géopolitique et l'énergie, dont le nucléaire, ça c'est plus spécialisé
Le tout sur blogger.
Trois pour le prix d'un.
Qu'on se le dise!
Oyez, oyez, bonnes gens.
Bref.
Fan de langues (et de chats, il y a aussi la musique, ça va de la musique classique à tout un tas de musiques actuelles), mais pas seulement, le compte à rebours est lancé pour moi depuis ma naissance (mais je ne suis pas la seule dans ce cas), alors, je profite de ces bons moyens technologiques pour m'exprimer et dire autre chose que: banzaï! ou go, go, go! ou Sir, yes Sir!
je disais comme je suis forte en langues, j'ai même le projet de traduire mes articles. Anglais, Indonésien, Malais, Italien, Allemand, il y en aura pour tous les goûts.
Traductrice professionnelle je suis.
Mère de famille aussi.
Et puis, écrivain. Écrivain autodidacte.
(Liste de talents non exhaustive)
On fait ce qu'on peut.
Et puis, j'ai envie de rigoler aussi. Dans écrire, il y a "cri", il y a "rire". Je préfère éviter les moments où l'on crie, et au contraire raconter ceux où l'on rit.
Regardez bien cette photo: c'est mon Jag en plein effort.
Je vais en faire des efforts, promis.
Comme je vous confie mes secrets, je vais vous faire un aveu. 
je me suis auto-publiée sur Kindle et iBookStore, toujours ces outils technologiques incroyables.
Eh oui, j'ai "commis" un policier.
Après tout il faut bien vivre dangereusement si on veut avoir des sensations.
Voici les liens que je vous conseille grassement bien sûr




dans quelques temps je vais revenir sur la genèse de ce bouquin...
Il est chouette mon nom d'auteur, non?
En fait, je ne voulais ni mettre mon nom de jeune fille, ni mon nom d'épouse. Allez savoir pourquoi, les deux possibilités me gonflaient.
J'ai même vu sur Internet qu'il y avait une sainte aux États-Unis qui s'appelait ainsi, Lucie Christine! Là j'ai tapé fort, j'en ignorais jusqu'à l'existence.
Ce sont de bons auspices.
Alors j'ai pensé à mon second prénom. Le premier c'est Christine, oui, c'est vraiment un prénom de génération, la génération née après 1960. Et vas-y les Nathalie, les Catherine, les Christine, les Sylvie... On était minimum 2 ou 3 dans chaque classe à porter les mêmes prénoms. Alors on enviait celles qui possédaient un prénom où il n'y en avait qu'une vous imaginez bien.
Je porte en second prénom le prénom de mon grand-père, Lucien. Évidemment pour moi, ça fait Lucienne.
Ça ne le faisait pas non plus. 
Et tout à coup, fiat Lux! 
Lucie, c'est la classe, en plus c'est la lumière! J'ai pas fait exprès.
Christine Lucie, c'était relou.
quand j'ai inversé j'ai trouvé ça trop bien. Allez, en selle, Lucie-Christine
À plus.

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